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Burkina/Education : Signature d’un aide-mémoire entre les acteurs de l’éducation pour améliorer le niveau de l’enseignement
Burkina/Education : Signature d’un aide-mémoire entre les acteurs de l’éducation pour améliorer le niveau de l’enseignement

Les acteurs du système éducatif ont signé jeudi, un aide-mémoire, qui est un document récapitulatif du bilan des activités du plan stratégique de développement de l’Education de base et de l’Enseignement secondaire (PSDEBS) visant à améliorer la qualité de l’enseignement.

Le gouvernement, les partenaires techniques et financiers et les organisations de la société civile ont signé ce jeudi 22 mai 2025 un aide-mémoire devant améliorer la qualité de l’éducation au Burkina Faso.

Le contenu du document est constitué des travaux du bilan technique et financier des activités et des financements de 2024, des recommandations pour une mise en œuvre efficiente du PSDEBS au cours de l’année 2025 et l’identification d’un thème prioritaire de réflexion pour les groupes thématiques.

Pour le ministre en charge de l’Education de base, Jacques Sosthène Dingara, la signature de l’aide-mémoire consacre les grandes lignes et les points consensuels de l’ensemble des acteurs de l’éducation pour l’année 2025 afin que des efforts soient conjugués pour améliorer davantage les indicateurs de système éducatif burkinabè.

M. Dingara a expliqué que le bilan de la mise en œuvre du PSDEBS en 2024 est assez positif avec un taux d’exécution financière de 91,39% pour un taux d’exécution physique de 84,72%.

« En 2024, plus de 1 900 structures éducatives ont été rouvertes dans les zones reconquises, permettant la réinstallation de plus de 432 390 élèves », a indiqué le ministre.

Le représentant du chef fil des partenaires techniques et financiers (PTF), James Mugaju, a encouragé le gouvernement burkinabè à poursuivre ses efforts en faveur d’une éducation de qualité au profit des enfants.

Il a réaffirmé l’engagement des PTF à accompagner l’Etat dans ses efforts déployés pour la réalisation des objectifs nationaux en matière d’éducation.

James Mugaju a, par ailleurs, apprécié la signature de cet aide-mémoire qui va renforcer la volonté d’améliorer, de rechercher l’efficacité et l’efficience dans la transformation des ressources en résultats pour les enfants.

La représentante des organisations de la société civile, Aminata Hien/Fofana s’est dite satisfaite de tout ce qui a été consigné dans l’aide-mémoire.

Elle a reconnu que de nombreux défis restent à relever dans le domaine de l’éducation au Burkina Faso.

Source: AIB
Mise en ligne: Jérôme KABORE

Évaluation certificative en alphabétisation : Jacques Sosthène DINGARA donne le coup d’envoi à Ouagadougou
Évaluation certificative en alphabétisation : Jacques Sosthène DINGARA donne le coup d’envoi à Ouagadougou

L’École primaire publique Dassasgho « A » de Ouagadougou a accueilli ce lundi 19 mai 2025, le lancement officiel de l’évaluation certificative des apprenants en alphabétisation. Présidée par le Ministre de l’Enseignement de Base, de l’Alphabétisation et de la Promotion des Langues nationales, Jacques Sosthène DINGARA, cette cérémonie marque le début d’une session nationale placée sous le sceau de l’inclusion et de la valorisation des langues nationales.

Peut être une image de 10 personnes et personnes qui étudientCette année, 38 107 candidats sont inscrits sur l’ensemble du territoire, dont plus de 75 % de femmes, témoignant d’un engagement fort du gouvernement, en faveur de l’autonomisation féminine à travers l’éducation, selon le ministre DINGARA. Les profils sont aussi riches que diversifiés : apprenants adultes, enseignants, cadres, diplômés en reconversion… Tous unis par la volonté d’apprendre, ils composeront dans 14 langues nationales, symbole de notre patrimoine linguistique.

Avec 1 306 centres d’examen répartis dans tout le pays et 290 jurys mobilisés, l’organisation se veut rigoureuse et inclusive. Les lauréats recevront une attestation nationale reconnue, véritable levier de reconnaissance sociale et professionnelle.

Au-delà de la certification, cette initiative redonne à nos langues nationales une place centrale dans l’administration, l’éducation et la vie publique. Un pas décisif vers une société plus équitable et culturellement enracinée.

Source:DCRP/MEBAPLN

Mise en ligne: Jérôme KABORE

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